Tester les eaux

Quand la pandémie change les plans

Riley est un jeune écrivain professionnel de Vancouver qui considérait depuis huit années se joindre à l’œuvre de Mercy Ships. C’est grâce à l’émission 60 minutes, que lui et sa famille ont fait la découverte marquante de ce qu’était Mercy Ships. Riley parle de l’impact de ce visionnement ainsi : « Jamais je n’avais entendu parler d’un organisme de bienfaisance qui pouvait avoir un impact si profond sur les individus. » La vue et la dignité sont restaurées!

« Je considère avoir une vie facile. Si je peux aider, pourquoi ne pas le faire? » – Riley

Son plan était de mettre de l’argent de côté pour se préparer à devenir bénévole à bord, mais la pandémie est venue accélérer sa réflexion. Les circonstances lui ont permis de voir qu’il était prêt à vivre un changement. Alors qu’il travaillait dans le domaine du divertissement, il sent l’envie de s’orienter vers d’autres objectifs professionnels mais surtout de répondre à un besoin de sens, de sentir que son travail contribue au bien-être des autres. C’est dans cette recherche d’aligner profession et valeurs que Riley se retrouve aujourd’hui sur le Global Mercy, notre tout nouveau navire-hôpital. Alors qu’il parle de sa première entrevue à titre de rédacteur, il dit : « Mon sentiment de satisfaction était le plus fort ressenti depuis bien longtemps! »

Riley Chow

Pour faire du bénévolat, il faut ajuster ses voiles

Depuis son arrivée à bord, Riley découvre en lui une capacité d’adaptation et une résilience qui le surprend un peu. La vie à bord est constamment en évolution ; des gens quittent, d’autres arrivent, les tâches à faire sont multiples, mais Riley trouve son rythme et s’ajuste selon les besoins. Le Global Mercy étant dans sa phase de préparation, Riley n’a pas encore eu la chance de vivre l’expérience directe des services aux patients. Toutefois, il se réjouit que sous peu, il pourra se joindre au navire-hôpital Africa Mercy pour apprendre un nouveau rôle et ainsi avoir le privilège de côtoyer les patients.

On ne peut pas contrôler le vent, mais on peut ajuster les voiles! – James Dean

Riley

Une destination à découvrir

L’anglais étant la langue utilisée à bord mais non la langue maternelle des tous les bénévoles, il découvre à quel point la barrière de la langue n’est pas une réelle limite pour œuvrer ensemble. Son expérience à bord l’amène maintenant à voir comment ses aptitudes professionnelles combinées à ses récents apprentissages ouvrent des portes pour explorer le domaine de l’aide humanitaire en communication. Enrichi pour son périple, Riley n’est pas encore prêt pour un retour à terre. Il a décidé de prolonger son implication à bord.

Pour savoir si Mercy Ships peut faire partie de votre itinéraire de vie, découvrez les opportunités de bénévolat à bord : https://mercyships.ca/fr/sengager/devenir-benevole/